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    Le contrôle des armes n’a pas d’effet sur les taux de violence et de crime.

    Par Peter Tucci, chroniqueur pour le Daily Caller, depuis les États-Unis.

    http://www.contrepoints.org/2012/12/27/109323-pourquoi-je-suis-contre-le-controle-des-armes

    http://www.youtube.com/watch?v=ZRjxEAWwagc

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    Quelques jours après la tuerie de Newtown qui a fait la une de tous les médias, une tuerie semblable a pu être évitée grâce au droit au port d'armes. Sans surprise, les médias n'ont pas abordé le sujet....

    http://www.contrepoints.org/2012/12/31/109712-une-tuerie-evitee-grace-au-droit-au-port-darmes

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    Le droit de porter une arme par Pierre Lemieux

    http://www.pierrelemieux.org/artdroit.html

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    Les décès et blessures par armes à feu ont chuté en Californie, alors que le nombre d'armes vendues dans l'état a augmenté.

    http://www.sacbee.com/2012/12/27/5079151/california-gun-sales-increase.html

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    2 vidéeos intéressantes

    http://www.infowars.com/ben-swann-destroys-piers-morgans-anti-gun-argument/

     

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=OyS3CEIbpJo#!

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    Dans la video qui suit, Suzanna Hupp a survécu à une fusillade au Texas où ses parents où tué juste en face d'elle.

    Vous pourriez penser qu'elle adopterait une posiition anti-armes, mais elle fait exactement le contraire. 

    Elle est un ardent défenseur de la législation sur les armes moins restrictives et pour un port discret.

     http://gunssavelives.net/blog/mass-shooting-survivor-speaks-out-in-favor-of-guns-in-testimony-to-congress/

    http://johnrlott.blogspot.be/2013/02/audio-of-interview-that-i-had-on-sean.html

    http://www.humanevents.com/2013/02/13/lott-obamas-proposals-wont-reduce-gun-violence/

     

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  • Tuerie à l’école : la piste pharmaceutique

                                                                               

    Publié le 19/12/2012


    Et si les médicaments anti-psychotiques étaient responsables de l'apparition de ces tueries à l'école depuis 1971, dans plusieurs pays du monde ?     Par J. Sedra.


    Alors que les journalistes français dépoussièrent leur conformisme en associant, d’emblée et sans réflexion, la tuerie de Newtown avec la permissivité des lois américaines en matière de possession et port d’arme, heureusement pendant ce temps certains se posent les bonnes questions, c’est-à-dire : qu’est-ce qui peut expliquer ce phénomène relativement récent ?


    Commençons par le commencement : les tueries scolaires ne sont pas exclusives aux USA, à voir leur liste pour le reste du monde. Allemagne, pays nordiques et certains pays asiatiques sont bien présents dans cette liste, sans pour autant avoir la même « culture du revolver » que les USA ni ses lois permissives – loin de là !


    Ces tueries sont un phénomène récent, et même si les meurtres au sein d’établissements scolaires se produisent depuis aussi longtemps qu’existent les armes à feu, si l’on exclut les assassinats dirigés spécifiquement contre une ou quelque personne et s’étant simplement produit là fortuitement, et que l’on ne garde que les attaques spécifiquement dirigées contre l’établissement scolaire et ses étudiants et enseignants, alors on ne peut que remarquer une chose étrange : elles commencent avec les années 70, d’un seul coup. À part quelques occurrences étalées entre 1913 et 1966, tous les massacres scolaires du monde ont eu lieu à partir de 1971.

    Pourtant, les Américains n’ont pas attendu ces années-là pour s’armer… ni d’ailleurs les Allemands, les Suédois ou les Chinois.
    Pourquoi un début aussi net dans le temps ? Pourquoi une récurrence dans certains pays (USA, Canada, Thaïlande, Allemage, Suède, Finlande…) et pas des autres ?
     

    À ces questions, le docteur Gary Kohls pourrait avoir la réponse : ce psychiatre et chercheur à la retraite a étudié les effets néfastes des médicaments anti-psychotiques, et plus particulièrement les conséquences méconnues de les prescrire à des enfants et adolescents. Confusion, hallucinations, épisodes maniaques, hostilité, menaces et violences, comportement paranoïde, psychoses, impulsivité et fébrilité poussant au suicide, agitation, amnésie et détérioration du jugement… la liste est effrayante.
     

    Mais il y a aussi une autre liste compilée par ce psychiatre, qui est encore plus effrayante :
    Eric Harris, 17 ans, Zoloft puis Luvox
    Dylan Klebold, 18 ans, dossier médical scellé
    École de Colombine à Littleton, Colorado : 13 morts, 23 blessés
    Jeff Weise, 16 ans , Prozac (60mg/jour, soit trois fois la dose adulte)
    Red Lake, Minnesota : 10 morts, 12 blessés
    Cory Baadsgaard, 16 ans, Paxil (il se plaignait d’hallucinations)
    Wahluke High School, État de Washington : a pris en otage 23 élèves, n’a aucun souvenir de l’événement
    Chris Fetters, 13 ans, Prozac
    1 mort
    Christopher Pittman, 12 ans, Zoloft
    2 morts
    Mathew Miller, 13 ans, Zloft
    Suicide
    Jarred Viktor, 15 ans, Paxil
    A poignardé 61 fois sa grand-mère
    Kip Kinkel, 15 ans, Prozac et Ritaline
    4 morts : ses parents, puis 2 élèves + 22 blessés
    Luke Woodham, 16 ans, Prozac
    3 morts : sa mère et 2 élèves + 6 blessés
    Un jeune garçon anonyme (moins de 12 ans) sous Zoloft
    Pocatello, Idaho : s’est retranché en salle de classe avec une arme pendant des heures.
    Michael Carneal, 14 ans, Ritaline
    Lycée de West Paducah, Kentucky : 3 morts, 5 blessés
    Un jeune homme sous Ritaline
    Huntsville, Alabama : a massacré ses parents et deux autres proches à la hache
    Andrew Golden, 11 ans, Ritaline
    Mitchell Johnson, 14 ans, Ritaline
    Au collège : 5 morts, 10 blessés
    TJ Solomon, 15 ans, Ritaline
    Lycée de Conyers, Géorgie : 6 blessés
    Rod Mathews, 14 ans, Ritaline
    1 autre élève battu à mort
    James Wilson, 19 ans, plusieurs médicaments
    École primaire de Breenwood, Caroline du Sud : 2 morts, 9 blessés
    Mitchell Johnson, 13 ans, antipsychotiques
    Jonesboro, Arkansas : 5 morts, nombreux blessés
    Elizabeth Bush, 13 ans, Paxil
    Tirs au collège en Pennsylvania
    Jason Hoffman, Effexor et Celexa
    Tirs à l’école à El Cajon, Californie
    Chris Shanahan, 15 ans, Paxil
    Rigby, Idaho : 1 mort
    Jeff Franklin, Prozac et Ritaline
    Huntsville, Alabama : tue ses parents avec des outils, puis blesse ses frère et sœur
    Neal Furrow, Prozac et autres médicaments prescrits par décision judiciaire
    Tirs à l’école juive de Los Angeles
    Kevin Rider, 14 ans, Prozac
    Suicide présumé, puis suspecté d’avoir été abattu par un autre élève de 14 ans sous Zoloft et d’autres antidépresseurs
    Alex Kim, 13 ans, Lexapro
    Suicide
    Diane Routhier, Welbutrin
    Suicide
    Billy Willkomm, Prozac
    Suicide
    Kara Jaye Anne Fuller-Otter, 12 ans, Paxil
    Suicide après le refus de son médecin de stopper son traitement
    Gareth Christian, 18 ans, Paxil
    Vancouver : suicide
    Julie Woodward, 17 ans, Zoloft
    Suicide
    Matthew Miller, 13 ans, Zoloft
    Suicide
    Kurt Danysh, 18 ans, Prozac
    1 mort
    Woody ***, 37 ans, Zoloft
    Suicide
    Garçon de 10 ans anonyme, Prozac
    A abattu son père
    Hammad Memon, 15 ans, Zoloft
    A abattu un autre élève
    Matti Saari, 22 ans, antidépresseur et benzodiazépine
    10 morts et un blessé à son université
    Steven Kazmierczak, 27 ans, Prozac, Xanax et Ambien
    Northern Illinois University : 5 morts, 21 blessés
    Pekka-Eric Auvinen, 18 ans, antidépresseurs
    Jokela High School, Finlande : 8 morts, 12 blessés
    Asa Coon, 14 ans, Trazodone
    Cleveland : 1 mort
    Jon Romano, 16 ans, antidépresseurs
    New York high school : tir sur un enseignant
    Seung-Hui Cho, antidépresseurs
    Virginia Tech : 23 morts, 19 blessés
    Robert Hawkins, 19 ans, Valium et autres antidépresseurs
    Centre commercial à Omaha : 8 morts, 5 blessés


    À cette longue liste s’ajoute donc Adam Lanza, 20 ans, sous traitement antipsychotique lui aussi depuis des années. Pour Kohls, cette corrélation frappante entre tueries « insensées », accès de violence incontrôlables et médication antipsychotique et/ou antidépressive ne peut pas qu’être une simple coïncidence.
    Alors certes, une corrélation n’est pas forcément une causalité… On pourrait par exemple tenter d’expliquer le lien entre les deux en posant que ce sont typiquement les malades mentaux qui commettent des crimes « fous », et qu’il est normal que ces gens soient sous traitement – simplement, dans les cas pré-cités, le traitement se serait avéré insuffisant. Mais cette hypothèse ne peut pas expliquer pourquoi ces tueries ont commencé dans les années 70, qui se trouve justement être l’époque où ces médicaments ont commencé à être utilisés. La conséquence ne peut pas précéder sa cause dans le temps…
    Kohls n’est d’ailleurs pas le seul à dénoncer le lien entre ces médicaments et une augmentation notable de la violence : le psychiatre italien Giovanni Fava a signalé cette forte corrélation dès 1994, en notant qu’au bout de 6 mois de traitement, ces médicaments n’ont plus que des effets néfastes et aucun bénéfice. Pourtant, il est devenu habituels aux USA de garder des enfants et des adolescents sous un tel traitement pendant des années…
    Et même si cette corrélation entre médicaments puissants et accès de violence folle pourrait s’expliquer par une cause tierce restant à découvrir, qui causerait à la fois l’un et l’autre, il n’en reste pas moins qu’il faudrait tout de même arrêter d’urgence de donner ces pilules à ces patients.
    ---
    Sur le web
     

     

    Lien raccourci: http://www.contrepoints.org/?p=108575

    www.contrepoints.org
    Tuerie du Connecticut : et si les médicaments anti-psychotiques étaient responsables de l'apparition de ces tueries à l'école depuis 1971 ?
      
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    Face à ces tueries commises par de jeunes garçons à peine sortis de l'adolescence, de nombreuses questions se posent.

    Qui sont ces jeunes et pourquoi agissent-ils ainsi ?

    Le texte qui suit tente de comprendre les éléments qui ont provoqué le développement de la "génération Peter Pan" c'est ainsi qu'est définie une partie de la jeunesse masculine qui refuse de franchir le cap vers une vie d'adulte dans laquelle ils devront s'assumer en totalité.

    L'article ci-dessous souligne des faits qui démontrent que cette génération peut constituer un grave problème pour la société.

    http://www.infowars.com/22-stats-that-prove-that-there-is-something-seriously-wrong-with-young-men-in-america/

    En voici un résumé.

    Michael Snyder 18 décembre 2012

    Quand pourrons-nous enfin admettre que nous avons un très grave problème avec la jeune génération masculine en Amérique?

    La société a produit toute une génération de jeunes hommes qui ne savent pas comment devenir adultes, et beaucoup d'entre eux se sentent complètement perdus.

    Parfois, ils se sentent tellement perdus qu'ils «disjonctent» de manière très destructrice.

    Adam Lanza et James Holmes sont deux noms qui viennent à l'esprit.

    Pourquoi les meurtriers de masse sont presque toujours des hommes jeunes?

    Pourquoi des jeunes femmes ne se comportent pas de la même façon?

    Malheureusement, Adam Lanza et James Holmes ne sont que la pointe de l'iceberg d'un problème beaucoup plus important de notre société. Nos jeunes femmes sont statistiquement plus performantes que nos jeunes hommes dans presque toutes les catégories. Les jeunes hommes sont beaucoup plus susceptibles de mauvais résultats à l'école, ils sont beaucoup plus susceptibles d'avoir des problèmes de discipline et ils sont beaucoup plus susceptibles de se suicider.

    Dans un passé pas si lointain, la jeunesse masculine se rassemblait dans les rues ou dans les parcs de jeu après l'école, mais aujourd'hui la plupart d'entre eux se contentent de passer d'innombrables heures à nourrir leur dépendance aux jeux vidéo, de films et autres formes de divertissements. Quand nos jeunes gens grandissent, beaucoup d'entre eux ont extrêmement difficile à assumer leurs responsabilités. Ils veulent du sexe, mais ils ne sont pas intéressés par le mariage. Ils veulent profiter du confort de la vie à la maison, mais ils n'ont pas envie de s'investir et de poursuivre leurs objectifs de carrière afin qu'ils puissent se procurer ces choses pour eux-mêmes.

    Nos jeunes hommes sont censés être «les leaders de demain", mais beaucoup d'entre eux sont un fardeau pour la société.

    Quand pourrons-nous enfin d'admettre que quelque chose s'est mal passé ?

    Il y a même un nom pour cette génération de jeunes hommes qui ne veulent pas grandir. Il est appelé la "génération Peter Pan».

    Cette génération veut profiter des prérogatives des adultes sans jamais en assumer leurs responsabilités.

    Dans l’interview donné a Daily mail, un représentant de cette génération déclare avoir conscience de ne pas avoir grandi:

    "Téméraire, irresponsable et immature ? Oui. Mais au moins je peux trouver du réconfort dans le fait que je ne suis pas seul. 

    La semaine dernière, j'ai lu que il y a même un nom pour les gens comme moi. Nous sommes la «génération Peter Pan», un groupe important de 25 à 40 ans qui existent dans un état d'adolescence prolongée, en évitant les pièges de la responsabilité, le mariage, l'hypothèque, les enfants aussi longtemps que possible" 

    «Notre société est pleine de garçons et de filles perdues qui traînaient au bord de l'âge adulte», explique le professeur Frank Furedi, un sociologue qui a étudié ce phénomène, à l'Université de Kent.

    Un autre terme utilisé parfois pour décrire ces gens est« adultescent " ce qui les définit généralement comme des personnes qui refusent de s'installer et de prendre des engagements, et qui préfèrent continuer à faire la fête dans l'âge mûr.

    La jeunesse masculine américaine ne s'est pas toujours comportée de cette façon. Il y a plusieurs décennies, les hommes en Amérique ont fait leur vie, se sont mariés et ont eu des enfants beaucoup plus tôt qu'ils ne le font maintenant, mais les jeunes gens d'aujourd'hui semblent vouloir repousser les «marqueurs de l'âge adulte" aussi longtemps que possible.

    Ce qui suit est extrait d'un article remarquable  de Sandy Hingston ...

    Les sociologues citent cinq «marqueurs» ou «jalons» qui ont toujours défini notre notion de l'âge adulte:

    Terminer les études - prendre ses responsabilités en s'éloignant de la maison familiale - devenir financièrement indépendant - se marier -  et avoir des enfants.

    En 1960, 65 % des hommes avaient franchi ces 5 étapes à 30 ans, en 2000, seulement 1 homme sur 3 l'a réalisé

    Alors pourquoi tout cela est-il ainsi?

    Eh bien, il ya une foule de raisons, mais les parents et le système d'éducation en assument certainement la responsabilité. 

    Suivent les 22 points relevés, je retiens qu'un jeune méricain passe en moyenne 13 heures par semaine en jeux videos, ce qui implique qu'avant d'avoir atteint l'âge de 21 ans il aura passé 10.000 heures à cette activité !

    La dépendance aux jeux videos est 4 X plus grande chez les garçons que chez les filles.

    A cela s'ajoute la dépendance à la pornographie facilitée par internet (30% du trafic internet va vers des sites pornagraphiques)

    Plus de 50% de jeunes de 18 à 23 ans vivent toujours chez leurs parents et il en reste encore près de 30% en ce qui concerne les 25 à 34 ans !

    Le risque de suicide est enfin 4 X plus élevés chez les garçons que chez les filles.

    Il est certain que si pour résoudre ce genre de problème, une interdiction TOTALE des armes était imposée, cela n'empècherait jamais que de futurs drames se produisent tant certains jeunes sont déconnectés de la vie réelle, plongés au plus profond d'un monde virtuel baigné d'une profonde violence ou pour être vainqueur il faut tuer un maximum d'adversaires dans une atmosphère de fin de monde.

     

    Jacques

     

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    Voici un article fort intéressant relatif au drame qui s'est déroulé la semaine dernière aux E.U.

    http://www.infowars.com/life-is-dangerous-ban-everything/

    L'étude à laquelle ils font référence est très pertinente.

    http://www.law.harvard.edu/students/orgs/jlpp/Vol30_No2_KatesMauseronline.pdf

    Cet article est écrit en anglais en voici un résumé.

    La médiatisation à l'extrême de la fusillade du Connecticut vendredi dernier pose la question de savoir s'il faut tout interdire juste parce qu'une personne malade décide de commettre un crime odieux.

    Selon l'institut national américain des statistiques, les homicides d'enfants (moins de 19 ans) représentent 2,7 pour 100.000 personnes aux USA  alors que les accidents de véhicules automobiles représentent près de trois fois plus de décès soit 8,1 décès d'enfants pour 100.000 personnes.

    Le rapport 2011 du FBI démontre que la violence est en baisse dans tous les E.U avec un nombre de meurtres au niveau le plus bas depuis près de 40 ans !

    Bien que la possession d'armes par des citoyens est interdite en Chine ainsi qu'au Japon, de nombreux drames ont cependant eu lieu.

    En Chine en 2010, 8 enfants furent poignardés et trouvèrent la mort près d'une école, un mois plus tard 18 élèves furent poignardés dans une école primaire, d'autres faits semblables ont eu lieu durant la même période.

    Au moment ou le drame de Newton se déroulait, 23 enfant furent poignardés au moyen d'un couteau de cuisine dans une école en Chine.

    En 1995 près de 170 enfants sont morts aux E.U. dans un attentat à la bombe à Oklahoma City.

    Faut-il interdire les bombes ?

    Les statistiques américaines démontrent que la noyade est la principale cause de décès chez les enfants de moins de quatre ans et la deuxième cause chez les enfants âgés de un à 14 ans. L'eau tue beaucoup d'enfants chaque année. 

    Faut-il interdire l'eau?

    Le contrôle des armes n'a jamais eu que pour effet DE FAIRE AUGMENTER LA CRIMINALITE ! Malheureusement des lois de prohibition ne changeront rien.

    Les criminels sont des criminels parce qu'ils ne respectent pas les lois de la société. 

    Une étude de 2006 de Harvard analysant les lois américaines et européennes concernant les armes à feu n'a trouvé aucune corrélation entre la possession d'armes et les crimes armés violents. Au lieu de cela, il a été a démontré que les meurtres et les suicides étaient généralement fondés sur des facteurs sociaux, économiques et culturels indépendamment de la disponibilité d'armes. Les données montrent également que les neuf pays européens avec les taux les plus élevés de propriétaires d'armes avaient trois fois moins de meurtres que les neuf pays ayant les taux les plus faibles de possession d'arme à feu.

    Si les E.U. interdisent les armes, vont-ils aussi interdire les drones qui ont tué plus de 170 enfants au Pakistan ?

    Le but ultime de toute prohibition n'est ce finalement pas de priver les citoyens de leurs  droits et de permettre ainsi au gouvernement de maintenir  son pouvoir et de mieux contrôler le peuple ?

     

    Jacques

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