• Fusillades de Chattanooga

     

    Un tireur solitaire a abattu jeudi quatre militaires dans la ville de Chattanooga avant d’être tué lors d’une double fusillade visant des bâtiments militaires près cette ville d’environ 160.000 habitants du Tennessee.

    Un responsable américain a indiqué que des tirs avaient été entendus à proximité de deux installations militaires à une dizaine de kilomètres l’une de l’autre : une base de réservistes de la marine américaine et un centre de recrutement où plusieurs forces armées sont présentes.

    Ce qui n’est pas souligné par la presse « anti-armes » c’est que les bâtiments où se sont déroulés ces fusillades sont tous des « gun-free zone » autrement dit des zones dans lesquelles les armes sont interdites (à l'exception de la police militaire, les militaires ne peuvent avoir des armes sur la base, dans les bâtiments loués par le gouvernement fédéral, ou pendant qu'ils exercent des fonctions officielles)

    Evidemment, pour un individu déterminé à assassiner un maximum de personnes une « gun-free zone » est l’endroit idéal pour perpétrer leur crime puisque aucune victime ne pourra se défendre.

    Depuis 1950 toutes les fusillades publiques de masse ont eu lieu dans ces zones sans armes…  Sandy Hook, Fort Hood, Virginia Tech, Aurora…  l’église de Charleston et maintenant aussi Chattanooga... toutes des « Gun-free zone »

     

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  • Commentaires

    1
    Jeudi 23 Juillet 2015 à 09:10

    Ceci n'est pas une surprise! Nous sommes conscients du danger des Gun-free zones mais les anti-armes s'en moquent éperdument. Ils veulent un maximum de victimes par armes à feu pour pouvoir pousser leur agenda et surtout il faut que les armes utilisées soient détenues légalement sinon cela ne les arrangent pas (nous ne les avons pas entendu lors de la fusillade du muse juif à Bruxelles, ou lors de l’attentat contre Charlie Hebdo).

    Je travaille pour une grande institution, et j’ai demandé à mon employeur s’il avait un plan d’action pour contrer des attentats du type Mombay ou Nairobi. Sa réponse était un grand non. Donc il vaut mieux que je meurs plutôt que de responsabiliser et m’armer pour contrer un méchant avec une arme. Mais mon employeur, lui est bien protégé par des armes.

    Eddy

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